| | Un avis sur une de mes nouvelles ? | |
| | Auteur | Message |
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Sinbad
Messages : 41 Date d'inscription : 21/01/2013 Localisation : Sous des livres
| Sujet: Un avis sur une de mes nouvelles ? Sam 26 Jan - 17:51 | |
| Voilà, je pense que vous avez compris le système des avis. Tout d'abord, merci d'avoir pris le temps de lire~ Si vous avez quoi que ce soit à me dire, une critique ou autres : ~Juste une brise~ : Ici~The Raven~ : Ici | |
| | | Sklaërenn
Messages : 66 Date d'inscription : 01/06/2013 Age : 30 Localisation : Et si je vous disais que je reviens du monde astrale ?
| Sujet: Re: Un avis sur une de mes nouvelles ? Dim 23 Juin - 20:17 | |
| Alors, je n'ai pas encore lu la fiction : La rose givrée, mais justement ^^ comme ça je ne ferais pas de commentaire en rapport avec ça ^^. Juste une brise : - "première partie:
- Sinbad a écrit:
- Avel dansa doucement sur le sol, ses pieds frôlant l’herbe grasse de ce mois de mars, (point) les jeunes pousses s’écartèrent à son passage, tel une brise réconfortante elle cueillit un pétale de fleur pour la déposer sur le visage d’un enfant endormis,(point, ici aussi car sinon phrase trop longue et donc, elle en devient lourde, ou alors coupe ta phrase à ta manière ) ses cheveux blond voletèrent le long des branches basses de sapins, de lauriers roses et de platanes, s’amusant par la même occasion a montrer aux enfants où étaient les œufs de Pâques. Ses doigts caressèrent avec légèreté milles fleurs, milles plantes,(point ) laissant des trainés (Ici, il faut un "^" sur le "i") dorées qui telles des aurores boréales, décorèrent le ciel d’avril. Elle rit doucement en voyant la fille du printemps, s’amusant à la secouer avant de lui ébouriffer les cheveux.
La jeune fille sautilla doucement sur une pierre, ses orteils se plièrent sur la surface dure et chauffée par les rayons de plus en plus brûlants. Ses yeux bleu fixèrent le parc remplit d’enfants, elle s’aventura autour d’eux, riant en prenant une casquette et la posant sur le haut d’un toboggan, le pointant du doigt en le voyant crier puis rire en posant sa casquette sur ses cheveux indisciplinés. Elle grimpa sur un petit jeu d’escalade et se laissa tomber sur le sable qui grain par grain s’éleva dans les airs avant de tomber en silence sur le sol sableux,(point, tu passe du sable à la fillette qui pleure, il faut séparer ça je pense ) une des fillettes pleura en se frottant les yeux, Avel courut vers elle et dès qu’elle put, soufflant sur les paupières rougies de l’enfant, au bout de quelques secondes, la fillette se remit à rire, la poussière dans l’œil s’étant enlevé comme aller disparaître ce mois de juillet.
La demoiselle continua son chemin, tournant de temps en temps sur elle-même, regardant avec tristesse les nuages noirs venir, se glisser sur le ciel bleu clair pour le tinter d’un gris automnal, cachant le soleil et ses derniers rayons chaud. La pluie vint, elle essaya de la repousser, regardant les branches s’agiter, elle cria en entendant un coup de tonnerre. Avel n’aimait pas les tempêtes, encore moins celle-ci qui allait bientôt devenir un ouragan. Elle courut se réfugier vers la ville, sifflant pour essayer de se rassurer, la jeune fille s’approcha d’une fenêtre et tapa sur le carreau, fixant la maisonnée et ses habitants, regardant le feu crépitant dans la cheminé, la mère portant un plat d’où une fumée s’échappait. Les enfants riant et (en et pas "et" ^^ mais je pense qu'il s'agit là d'une simple petite erreur) se battant avec leurs cuillères et(virgule) le père les grondant (gronda) gentiment. Avel décida de ne pas déranger se moment de convivialité et recula, ne tapant plus à la fenêtre mais marchant vers un autre endroit, se protégeant le visage avec son bras, elle se cacha dans une cabane en bois, fixant le marchand de sable couvrir une petite fille.
La pluie cessa enfin, laissant une autre forme d’eau tomber sur le sol, les yeux bleus fixèrent le ciel blanc avant de se poser sur le lac ou Avel s'était réfugiée. Assise sur un tronc mort, ses pieds tapotèrent la couverture de neige sur le sol, elle tendit sa main et récolta un flocon, le regardant fondre sur sa paume tout aussi blanc. Avel pencha la tête, laissant ses cheveux dorés glisser le long de ses épaules nues pour tomber sur ses jambes recouvertes d’un simple tissus tel une cascade de fil d’or. Elle bougea rapidement les pieds, faisant voler les flocons qui s’y étaient accumulés au fil des heures. Avel soupira doucement(virgule) mais un craquement à côté d’elle se fit entendre, elle leva le regard vers un jeune homme qui s’était approché.
La jeune fille se leva et marcha, faisant voleter les flocons autour d’elle. Elle tendit sa main vers le garçon qu’elle reconnut aussitôt. Avel ouvrit ses lèvres et souffla doucement : -Jack.. Le garçon sourit en s’amusant avec son bâton, créant un dessin sur la glace qui s’était formé le long du lac, les arabesques continuèrent leur chemin le long de l’eau, créant un dessin des plus magnifiques. Avel sourit en fixant les cheveux blancs du garçon, les yeux bleus de l'adolescent croisèrent pendant un instant ceux de la jeune fille avant de s’aventurer le long du paysage. La jeune fille eut un pincement au cœur, encore une fois, elle devait essayer encore une fois… -Jack ! Le jeune homme se baissa et forma une boule de neige, la lançant dans le ciel. La jeune fille la regarda voler(virgule) avant de lever la main et de l’éclater dans une brise, faisant tomber des flocons sur eux. Elle se mordit la lèvre et sauta sur Jack, le faisant tomber sur la neige dans une bourrasque et une tornade de points blancs. Assit en califourchon sur lui, elle le martela de ses poing, le regardant, lui et ses yeux surpris. -Regarde-moi ! Regardez-moi ! Je suis là !
Les yeux bleus en face d’elle bougèrent de partout avant qu’il ouvre enfin ses lèvres. -Qu’est-ce qu’il se passe ? Pourquoi tu t’énerve le Vent ? La jeune fille écarquilla les yeux avant de serrer les poings et de se lever, les faisant glisser le long de son visage, elle cria dans une plainte aigue (aiguë) qui fit vibrer les branches des arbres, l’air se fit plus froid, violent, fouettant les plaines enneigées, faisant battre les volets dans un vacarme assourdissant. Jack se leva et tendit ses mains en avant, d’un air désolé. -Hey, calme ! Ne t’énerve pas comme ça ! Avel baissa les yeux vers le sol, essuyant ses larmes du revers de la main. Les yeux bleus fixèrent ceux devant elle avant de s’accrocher sur le sourire enfantin de Jack. -Faut pas s’énerver ! Reste calme et amuse-toi ! Laisse toi aller~
Elle sourit en le voyant faire un salto arrière puis il se dirigea vers la glace, glissant lentement dessus en tendant les mains. Avel s’avança d’un pas léger puis posa ses pieds sur la glace, se laissant pousser par une petite brise. Elle tendit ses mains et posa celles-ci dans les paumes de Jack. Il sourit et glissa plus vite, toujours en arrière, fixant le vide devant lui ou était cependant la jeune fille. Elle rit doucement en le voyant trébucher et l’aida avec un petit souffle frais à reprendre l’équilibre. Autour d’eux, des petites tornades de neiges dansèrent entre elles, accompagnés par le chant du vent et des oiseaux. Avel sourit avant de se rapprocher plus du corps de Jack, lui faisant un baiser aussi chaste qu’une brise marine. -Merci Jack de croire en moi. Elle le poussa brusquement et le fit s’envoler, le jeune homme rit en bougeant dans tous les sens et commença a partir vers la ville, s’amusant avec les enfants sous le regard de la jeune fille du vent, Avel.
- 2ème partie:
- Sinbad a écrit:
- Avel se promenait dans l’immense plaine désertique d’Atacama, elle courait sur le sol dure et fissuré à cause de la sécheresse,(point) cette année, elle avait prévu de faire plaisir aux habitants de cet endroit si hostile et brûlant. Certes, ce n’était pas la joie de noël ou bien la journée de Pâques qui arriveraient dans quelques jours mais un autre phénomène bien plus magique à ses yeux que tous les autres. La jeune fille s’éleva dans les airs avant de se poster sur une branche d’un arbre mort, regardant les nuages noirs approcher, soutenue par les grondements des orages.
La pluie tomba aussi rapidement que vient le mistral, infiltrant la terre de ses millions de gouttes d’eau en quelques heures,(point) Avel sauta de la branche et tourna sur elle-même en rigolant, lançant des bourrasques de vent mêlés à la pluie sur le sol anciennement aride. Elle leva les mains en recueillant des gouttes qui glissèrent le long de ses bras avant de s’imbiber dans la robe blanche devenue quasiment transparente. Au bout de quelques heures, la pluie disparut, laissant Avel sur un sol boueux et silencieux. La jeune fille se laissa tomber sur le sol et ferma les yeux, elle n’avait plus qu’à attendre…
Quand les paupières de la jeune fille se levèrent, se demandant depuis combien de temps elle dormait. Avel plissa ses yeux bleus devant le soleil chilien, elle se redressa et fixa son corps et sa robe marron à cause de la boue. Elle rit doucement en essayant de glisser ses doigts dans ses cheveux emmêlés et sales. Un bain serrait bientôt primordiale maintenant… Elle fixa le sol à côtés (sans "s" ) d’elle, admirant des tiges vertes se lever, recouvrant la terre aride de milles et une couleur, toutes les fleurs de la planète bleu entière avaient été regroupés. Avel se leva et courut à travers ce champs exceptionnel, elle fit glisser une vague d’air chaud pour que les pétales s’envolent,(point) courant après eux, la jeune fille passa à travers un groupe d’enfant qui admirèrent l’endroit. Avel continua de courir et sauta vers le ciel, volant rapidement vers l’océan pour rejoindre une autre personne.
Elle se laissa tomber vers l’eau, arrêtant sa chute à quelques centimètres des vagues. Elle tendit ses mains et(virgule) les plongea dans le liquide océanique avant de plonger doucement dedans, nageant quelques instants avant de remonter à la surface et de s’envoler de nouveau,(point) elle traversant (traversa) rapidement un continent avant de fixer une jeune fille dans la rivière, la fille du printemps, elle (enlève la virgule et le "elle" avant plongea, il ne servent à rien si ce n'est alourdir ta phrase ;p) plongea vers elle et(virgule) lui attrapa les bras. Fronçant les sourcils : -C’est dangereux !
La gardienne du printemps parla mais(virgule) Avel ne l’écouta que d’une oreille distraite, entendant des soupirs et des pleurs portés par le vent de Pâques. Elle tendit sa main et le courant d’air emporta la fille du printemps plus loin, quand (quant je crois et, non quand, mais je ne suis pas sure, à confirmer) à Avel, elle se dirigea vers la source de ses bruits remplis de tristesse et de déception. La jeune fille se posa sur une colline en fixant la ville devant elle, Avel commença à marcher sur le sol, l’herbe caressant ses pieds nus laissa une coccinelle se poser sur sa cheville droite, celle-ci monta doucement le long de la jambe avant de s’envoler vers le visage inquiet de la jeune fille. Les yeux bleus fixèrent l’insecte partir vers le ciel ensoleillé puis son attention se porta vers le sol plus bas, là où le parc de Burgess se trouvait, elle pencha la tête de côté en fixant un couple et leur fille partir de l’endroit avec un visage fermé...
Avel s’élança vers eux, lançant une petite bourrasque de vent avant de se baisser vers la petite fille qui tenait fermement son panier contre elle. La fille du vent se pencha et fixa le panier vide, fronçant les sourcils. Mais où étaient donc les œufs ? Le gros lapin avait-il du retard ? Avel courut à l’intérieur du par cet fixa tous les enfants sur place, cherchant les œufs, montant dans les arbres ou bien creusant dans le bac en sable en pleurant désespérément. La jeune fille tourna sur elle-même, sentant l’inquiétude monter en elle. Ne comprenant pas pourquoi cette année, rien ne se passait comme il le fallait. Elle fit monter une bourrasque de vent, faisant secouer les branches violement (violemment), le sable se déplaça et les banderoles ou des œufs de pâques étaient dessinés dessus bougèrent en claquant. -Rien, rien !
Avel arrêta tout et courut vers le centre du parc, cherchant en se baissant tandis que les enfants partaient, disant à haute voix que le Lapin de Pâques n’existait pas, elle courut vers eux, faisant de grands signes avec ses mains. -Il existe ! Il existe ! Un garçon lui passa au travers, surprise, elle sauta plus loin et trébucha, tombant lourdement sur le dos, sa tête cogna contre un caillou et elle se la prit entre ses mains en fermant les yeux. Elle voulut rire de sa maladresse mais un soupir triste s’échappa de ses lèvres : -Enfin, je dis ça mais personne ne sait que moi je suis là moi. Avel se releva doucement, se frottant sa tête en souriant, il y avait une personne qui croyait en elle. Cependant Jack Frost n’avait pas remarqué qu’elle lui avait volé son premier baiser ! Avel rougit a cette pensée en se roulant dans l’herbe, faisant voler des pétales autour d’elle avant de s’arrêter. -Ce n’est pas le moment de jouer !
Elle se releva quand des voix s’élevèrent, Avel courut vers elles car elle les reconnu. Elle sauta sur les épaules du père-noël, celui-ci frissonna alors qu’il ne remarqué même pas qu’il avait une jeune fille sur ses épaules. -Papa-Noël ! L’homme à l’accent russe bien prononcé parla et(virgule) la jeune fille fronça les sourcils en voyant Alysse au sol. Elle pencha la tête et poussa un soupir de soulagement en voyant des plantes pousser autour de la gardienne du printemps. Elle descendit des épaules de North pour s’approcher et se mettre à genoux devant le corps endormit, jouant avec une tige d’une fleur. Elle sentit une présence derrière elle et(virgule) sursauta en voyant la fée des dents. Elle fronça les sourcils en mettant sa main devant sa bouche, elle n’avait pas confiance en cette fée… Avel les regarda partir avant de baisser son regard d’un air émerveillé devant une petite boule de poil grise.
Elle sauta vers lui et lui caressa les oreilles, le lapin frissonna en avançant par petits bonds, suivit par Avel qui s’amusait avec la petite queue et les oreilles. -Pinpin, tu as l’air moins effrayant tout d’un coup ! Ricana-t-elle. -Je sens un courant d’air entre mes oreilles… Marmonna doucement Bunny. Elle voulut les suivre mais arrêta tout mouvement, se levant brusquement et tendant la tête vers le plus sombre et inquiétant coin de la ville. Avel prit de l’élan et sauta dans le ciel, volant rapidement vers l’endroit. Les pieds blancs et nus atterrirent sur le sol engloutis par l’ombre des arbres, sa main se posa sur un tronc pendant que ses yeux bleu fixèrent une personne marcher avec une élégance inquiétante. Avel se colla ventre contre l’écorce, admirant les yeux dorés avant de se rappeler à qui ils appartenaient. Avec une once de panique, Avel créa un bourrasque de vent froid avec(virgule) pour tentative de le repousser,(point) celui-ci s’arrêta sans réellement faire attention à cette menace et sourit, au plus grand désespoir de la jeune fille.
-Je t’apprécie beaucoup, Vent, car tu es toujours là même dans la plus sombre des forets en sifflant tel un serpent. Tu es celui qui frappe les vitres des enfants et qui les effraie les soirs de tempêtes car tu fais bouger les branches des arbres qui deviennent mille et une bêtes effrayantes. Tu coinces leurs cerfs-volants dans les arbres, entrainant (entraînant) dans ton souffle tous leurs rires et leurs joies. Tu es, mon coéquipier dans un sens.
La jeune fille pencha la tête en fronçant les sourcils, elle fit un pas vers l’homme et se posta devant lui, croisant les bras. Une bourrasque se glissa entre les arbres, faisant craquer certaines branches tandis que Pitch plissa les yeux, le sourire toujours sur ses lèvres plus pâles que la mort. -N’importes quoi. -Tu n’es donc pas d’accord avec moi ? -Jamais. Le souffle de vent se fit plus froid, un groupe d’oiseau s’envola, effrayés ( sans "s", il s'agit d'un groupe et non de plusieurs, donc la, inutile de mettre au pluriel). -Pourtant, je suis le seul qui pourrait réellement croire en toi. Avel écarquilla les yeux, s’approchant un peu plus de l’homme tout en noir. Elle plongea ses yeux dans le regard or. La jeune fille tendit sa main vers le visage au teint blafard, son doigt s’approcha de la peau avant de traverser le corps. Avel recula sa main, se tenant le poignet en regardant le sol. -Menteur.. Le vent se fit plus fort et Pitch disparu dans une ombre noir, la jeune fille courut, ses pieds frôlèrent l’herbe avant de se détacher de celle-ci, s’élançant dans le ciel. Elle s’éleva haut avant de se laisser tomber sur la branche d’un arbre, fixant la ville d’un air détaché. -Faut-il que je créais une tempête pour que l’on croit en moi ? Avel se laissa tomber en arrière, ses jambes coincés sur la branche lui permirent de rester a tête en bas, fixant l’obscurité teindre le ciel…
Bon texte, petit problème de ponctuation, mais je vais te dire, je suis la reine de la mauvaise ponctuation x). Utilise ses tirets "—" pour les dialogues et oublie ceux du tiret du 6 ou du 8, pour e tiret que je te conseille, tape alt + 0151. Ensuite sépare tes dialogues de tes descriptions sa sera plus épurée pour le lecteur. J'espère que mes remarques te sont utiles ^^ | |
| | | Sklaërenn
Messages : 66 Date d'inscription : 01/06/2013 Age : 30 Localisation : Et si je vous disais que je reviens du monde astrale ?
| Sujet: Re: Un avis sur une de mes nouvelles ? Dim 23 Juin - 20:51 | |
| Pour The Raven~ - The raven:
- Citation :
- L'homme assit au coin du feu, ruminait sur les œuvres qu'il lisait. Minuit s'affichait sur le grand horloger à côté de lui, faisant son éternel bruit représentant le temps qui passait. L'homme // répétition de l'homme // fermât ses paupières, se sentant sombrer vers le sommeil quand(virgule après sommeil ou quand, pour le coup je ne suis pas sure à vérifier ) un coup à sa porte le fit sortir de sa douce léthargie. Il regarda la lourde porte//répétition de porte// en bois et jura :
« Un gêneur toque à la porte de ma chambre, Cela seul et rien de plus. »
L'homme se remit contre le dossier de son fauteuil, fixant les cendres dans la cheminé, le bois venant d'être tout juste consumé. Il murmure faiblement le nom de son amour Léonore, nom d'un ange qui s'est enfui dans les glaces de décembre. Et lui reste ici, repoussant son deuil dans les livres, il cherche à s'occuper jusqu'au matin. L'homme frissonne en entendant les bruissements des rideaux, remplissant son esprit de multiples peurs,(point) il sent son cœur battre à vive allure et se murmure //répétition de murmure//à lui-même, tachant de se calmer :
« Là vient quelques gêneurs forçant la porte de ma chambre. Si tard s'en vient un gêneur forçant la porte de ma chambre. Cela, oui, et rien de plus. »
Ses sourcils se froncent et il se lève, parlant à haute voix, en s'approchant de la porte :
« Sire » Demande-t-il « Ou Madame, j'implore votre pardon ; Mais le fait est que je dormais, et vous voici, doux frappement, Vous voici toquant à peine, toquant la porte de ma chambre, Je doutais de vous entendre. »
Sur ses mots, il tourne la poignée, faisant grincer la lourde porte et se retrouve face à l'obscurité, à l'ombre de la solitude. Ses yeux fixent le couloir sombre, pris de frayeur, se demandant s'il ne rêvait pas. Le silence lui fit juste comprendre qu'il était seul, seul et rien de plus, juste lui et ses pensées funestes. Sa voix prononce, douce murmure :
«Léonore ? »
Et continue d'appeler, comme un écho, plein de douceur
« Léonore ! »
Mais rien ne vint, rien ne répondit, juste le silence de la nuit. L'homme soupira, refermant la porte. Son âme aussi sombre que les cendres, il entendit de nouveau toquer, plus fort cette fois-ci, plus réelle aussi.
« Surement » Dit-il, « c'est surement dans le treillis de ma fenêtre ; Il me faut voir ce qu'il en est, ce mystère explorer. Calme toi un moment, mon âme, va se mystère explorer ; C'est le vent et rien de plus ! »
Dans un geste il ouvrit la fenêtre, voulant s'assurer que ce soit bien une branche ou le vent qui vole le repos de son âme et son esprit. Quand dans un grand battement d'ailes, entra un Corbeau. Beau, majestueux et(virgule) sombre de son plumage, sans bruit et dans son seul geste il se posa sur un buste de Pallas, fièrement accroché à la porte de cette chambre. L'oiseau ne fit rien de plus, observant juste de son perchoir l'homme en face de lui, le fixant de ses yeux carmin. L'humain quant à lui, sourit, trouvant cet animal remplit de noblesse, cet oiseau d'ébène se retrouvant dans sa chambre, à lui, remplissant la pièce d'une étrange ambiance.
« Fût ton cimier tondu, rasé » Dit-il, « Toi tu n'es pas capon, Sinistre augure, vieux Corbacé, sorti des confins de la Nuit. Dis ton nom fier, sire aux confins plutoniques de la Nuit ! »
A la grande surprise de l'homme, la noble bête réagit, déployant ses ailes comme révérence, il ouvrit le bec et croassa :
« Nevermore »
La surprise (était serait le bienvenue ici )présente mais se transformant (transforma) en curiosité, l'homme s'étonna de penser que cette réponse était pour lui, et que lui seul pouvait voir quelque chose d'aussi incroyable qu'un oiseau sur la porte de sa chambre, et qui ai pour nom « Nervemore ».
Le corbeau, après avoir repris sa pose, ne pipa mot, rien de plus, il ne bougea plus fixant toujours l'homme de ses yeux carmin. L'homme murmura faiblement dans la pièce :
« Des amis ont déjà fui Au matin qu'il me quittera, mes Espoirs déjà enfuis. »
Et l'oiseau de nouveau croassa :
« Nevermore »
Le silence après ce seul mot surpris l'homme de nouveau, il décida de continuer cette conversation bien étrange.
« Sans doute, » Reprit-il, « Ce qu'il exprime est un piètre porte-greffe Repris d'un maître malheureux qu'un désastre sans merci Poursuit ferme et ferme poursuit jusqu'en ses chants et leur charge. Chants funèbres de l'Espoir ; et que mélancolie se charge, Du "Jamais- Jamais plus". »
L'oiseau lugubre ne dit rien, plongeant de nouveau lui et l'homme dans le silence de la nuit. L'homme poussa un siège en face de l'animal. Il s'assit dans le siège de velours, plongeant dans ses pensées, où le simple mot de l'oiseau voler (vola ou volait)dans son esprit. Ce (Se) demandant ce que voulait dire Nevermore, le faisant penser à un refrain d'un abominable chant. Le corbeau le fixa toujours, cependant, c'était avec une lueur furieuse que ses yeux dévisageaient l'homme. Celui-ci posa sa tête contre le coussin violet, pensant à sa belle et douce bien-aimé. L'homme sentit que l'atmosphère se fit plus lourde, il fixa de nouveau le corbeau, un espoir dans le regard :
« Misère ! » Hurla-t-il, « Tu viens de Dieu, par tous les anges Dieu t'envoie. Pitié ! Pitié donne-moi du népenthès pour Léonore ; Bois, bois ce népenthès, oublie, Léonore et perdu ! »
Le corbeau répondit sinistrement :
« Nervemore »
L'homme ouvrit les bras, la colère le prenant, ce n'étais pas un Seraphin devant lui mais un serviteur de Satan. Emmenant ceux dans le deuil(virgule) dans le doute, dans la peine, dans l'espoir de voir leurs morts, s'amusant de la souffrance que cela pouvait provoquer.
« Prophète ! » Dit-il « Suppôt du mal ! Prophète oui, démon, oiseau ! Tentateur envoyé, ou rejet de tempête échoué, Désolé bien que téméraire, en ce désert ensorcelé, En ce logis d'Horreur hanté Dis-moi vraiment, je t'implore, Est-il...Est-il baume en Judée Dis-moi ! Dis-moi ; Je t'implore ! »
Le corbeau seulement répondit.
« Nevermore »
« Prophète ! » Répéta-t-il « Suppôt du mal ! Prophète oui, démon, oiseau ! Au nom du Ciel arche sur nous Par Dieu que nous adorons Dis à mon âme emplie de deuil si, tout là-bas loin de l'Eden, Elle verra sainte madone près des anges Léonore Rare madone et radieuse près des anges Léonore. »
« Nevermore »
L'homme cria, fou de colère :
« Vienne ce mot qui nous sépare, ami, oiseau ! Qu'il te rejette en la tempête, vers Pluton, rive de la nuit ! Que nulle plume vienne noire en gage de ta fourberie ! Nulle briser ma solitude ! Fuis du buste de ma porte ! Sors ton bec de mon cœur ! Et sors ton spectre de ma porte ! »
L'oiseau, seul dans cette chambre avec l'homme, ouvrit le bec pour la dernière fois et croassa :
« Nevermore »
Il ne bougea pas, fixant l'homme d'un regard de démon, coincé, pris au piège dans un rêve. La lumière de la cheminé l'éclairant faiblement, agrandissant son ombre sur le mur de la chambre. L'homme le regarda, sachant son âme prisonnière de cet instant, rare et éphémère jusqu'au matin. Et dans un battement d'aile, le corbeau disparut, laissant une plume noire, signe de son passage, tombant dans la cheminé, sur les cendres rougeoyantes, brulant(brûlant), disparaissant de cette chambre comme les espoirs et rêve de l'homme...
J'ai eu un peu de difficultés à suivre par moment, mais j'adhère . Bon texte, fluide, quoiqu'un peu lourd parfois. À quand d'autre texte ^^? | |
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